Alice Rosebury

Identité
	Pour tout le monde: Nom: Rosebury Prénom: Alice Âge: 20 ans Sexe : Féminin Orientation sexuelle : Hétérosexuelle État civil: célibataire Titre de noblesse : Aucun Pour tout le monde: Niveau de vie : Pauvre Métier : Paysanne Famille: Ses parents et ses nombreux frères et sœurs Star sur l'avatar: Rachel Hurd-Wood
Histoire
	Histoire : Alice vit le jour dans la sombre masure que ses parents habitaient. Son père, un humble paysan, travaillait dur sur la terre que le seigneur des lieux lui louait en échange d’impôts et taxes de toutes sortes et souvent très élevés. Il cultivait principalement de l’orge et de l’avoine mais aussi un peu de blé. Tout bon cultivateur sait qu’il ne faut pas mélanger les cultures et il n’y avait que très peu d’espace pour le blé. Puisqu’il fallait laisser reposer la terre une année sur trois, le terrain que possédaient les Rosebury était séparé en parcelles plus ou moins grandes. Sa mère élevait la progéniture du couple. Le couple Rosebury se comptait quand même chanceux, les trois ainés furent des garçons qui purent aider aux travaux sur la terre. Le quatrième enfant, une fille, aida sa mère à élever les plus jeunes. Alice fut la onzième d’une famille de douze enfants. Or, sur ces douze enfants, seulement sept survécurent. Sa mère, épuisée après autant d’accouchements, ne put en mettre plus au monde et il fut décidé que la famille s’arrêtait là. Alice eut toujours l’impression que, dans sa famille, il y avait deux familles. Les ainées s’occupaient de la terre et de la maison tandis que les plus jeunes s’amusent et font des tâches faciles comme ramasser des fruits sauvages. Alice et son jeune frère furent donc assignés à la cueillette des fruits comme les fraises, raisins, etc. que la famille faisait pousser près de la maison. Elle put aussi s’occuper des quelques animaux de la famille. Elle était une petite fille adorable, toujours prête à aider ses ainés même si ces derniers la repoussaient, la trouvant plus gênante qu’utile. Vers l’âge de huit ans, sa mère mourut lors de l’épidémie d’une maladie que les anciens appelaient fièvre. Plus vieille Alice réalisa que toutes les maladies étaient affublées de ce nom quand on ne connaissait pas les causes. Les plus vieux l’empêchèrent de voir sa mère, craignant la contagion et ils quittèrent la maison quelques temps pour vivre dans un abri de fortune sur les terres, laissant leur mère avec un guérisseur qui venait de temps en temps vérifier son état. Quand elle mourut, son corps fut enroulé dans une couverture et enterrée dans le petit cimetière familial, près des cinq enfants décédés. La maison fut désinfectée du mieux qu’ils purent et ce fut la sœur ainée d’Alice qui prit le relai, remplaçant leur mère pour les trois plus jeunes. Comme tous les veufs de l’époque, son père se remaria rapidement avec une femme qui avait déjà ses propres enfants. Alice hérita donc de deux frères plus vieux et d’une sœur plus jeune. Sa belle-mère n’était pas si terrible et s’occupait bien de tous les enfants. Ses frères plus vieux se marièrent tous peu après, Alice ayant l’impression qu’ils l’abandonnaient tous un après l’autre. Alice n’aimait pas réellement les travaux agricoles et dès qu’elle en avait l’occasion elle partait aller voir les environs et se promener dans le village. Ne sachant ni lire ni écrire, elle ne parvenait pas à déchiffrer les enseignes des échoppes et devait pointer son nez pour savoir qu’est-ce qu’on vendait. Elle n’avait jamais d’argent pour s’acheter quelque chose mais aimait bien voir les étales de fruits, de légumes et quelques fois, un visiteur vendait des bijoux. Mais lorsqu’il la voyait arriver, vêtue de ses hardes et le visage bronzé et sale, le marchand la repoussait de peur qu’elle ne vole un bijou de valeur, bien que la majorité des visiteurs ne vendaient que de la pacotille. Un jour, elle s’essaya et vola une pomme, fruit qu’elle voyait rarement, sa famille ne possédant pas de pommiers. Elle put s’enfuir avec son précieux butin et, caché derrière des tonneaux appartenant au tenancier de l’auberge, elle savoura le fruit. Le jus qui lui coula dans la bouche lui fit fermer les yeux de bonheur et elle ne rejeta qu’un cœur bien nettoyé après qu’elle eut fini de tout mangé. Elle retenta ses petits méfaits chaque fois qu’elle le pouvait, rapportant quelques fois des trucs à manger pour ses frères et sœurs. Quand on la voyait, elle déguerpissait rapidement, cachée sous un capuchon afin de ne pas être reconnue. Elle ne volait pas deux fois le même marchand de suite, laissant quelques temps s’écouler afin de ne pas se faire démasquer. Puis voler les étales ne fut plus suffisant. Elle devint une pickpocket hors pair, développant de nouvelles techniques pour voler les gens sans qu’ils ne s’en rende compte. Elle ramenait de l’argent à la maison, en donnant une partie à la famille, racontant qu’elle avait vendu des petits sacs de fruits, et en gardant une partie pour elle. Elle la cachait bien comme il faut, craignant de voir sa petite fortune personnelle disparaître. Elle continuait à faire ses tâches domestiques et quand sa sœur ainée se maria, elle dut la remplacer dans ses tâches. Cela lui donnait beaucoup moins de temps pour aller en ville et l’argent remplissait ses poches beaucoup moins rapidement. Âgée de quinze ans, elle était assez grande et élancée et bien arrangée, elle attirait les regards de bien des hommes. On lui offrit aussi de travailler dans une maison close, arguant qu’elle ferait beaucoup d’argent mais elle refusa, l’idée de se faire toucher par des hommes plus ou moins propres la dégoûtant. Elle préférait continuer de voler pour sa pitance. Son père lui répétait qu’elle devrait se marier, fonder sa propre famille et travailler sur une terre qui serait la sienne. Alice le regardait comme si il s’était s’agit du dernier des imbéciles. Elle n’avait aucunement l’intention de vivre dans la misère comme ses parents le faisaient depuis toujours. Elle sut ce qu’elle voulait faire quand un jour, revenant de la rivière où elle s’était lavée et où elle avait frotté ses vêtements, elle avait croisé un convoi royal, le roi faisant la visite de son royaume avec toute sa cour et retournant enfin au palais. Debout le long du chemin, elle avait vu passer plusieurs officiers, des musiciens jouant du tambour, des porteurs de drapeaux, tous à pied et finalement le roi et la reine, montés sur de magnifiques montures et portant de longues capes descendant très bas derrière le cheval, atteignant presque le bout de la queue de leur cheval. Des gens marchaient près des chevaux, étant près à défendre les cavaliers à la moindre attaque. Suivaient ensuite les princesses, sœurs de la reine, vêtues de somptueuses robes et de capes aussi longues que celles de ces majestés. Un jeune homme chevauchait près de la dernière princesse, vêtu richement lui aussi. Plusieurs personnes, probablement des suivants, des domestiques, etc. suivaient montés sur des chevaux ou marchant. Ce qu’ils étaient beaux, tous. Debout dans ses guenilles de fermière, Alice les regardait passer, la bouche entrouverte. Elle avait un peu honte de ses cheveux continuellement en bataille, de sa peau si foncée comparativement à celle des femmes du convoi et de ses hardes de paysanne. Le roi fit un signe à un suivant et elle reçut une pièce de l’homme. Elle ferma son poing autour et regarda défiler tous ces gens si riches. Une fois le convoi loin à l’horizon, elle retourna à la maison et sortit ses avoirs de leur cachette. Elle n’y ajouta pas la pièce du roi, la gardant sur elle. Elle prit ses quelques vêtements et jeta le peu de nourriture qu’elle trouva dans un sac. Elle était maintenant une femme et c’était le temps de partir avant que son père ne lui trouve un fermier veuf comme mari et ne l’envoie vivre sur une terre aussi pauvre que la sienne. Elle quitta la maison, jetant un dernier regard vers la masure et prit le chemin de la ville de Niève, endroit où sa mère lui racontait, petite, que tout était possible. Elle prit la même direction que le convoi, volant dans les villages pour vivre, dépouillant les plus riches qu’elle pour subsister. Le fait qu’elle soit mince et sportive l’aidait beaucoup à s’enfuir lorsqu’on la prenait la main dans le sac…ou dans la poche. Cela lui prit plusieurs jours pour atteindre la ville de Niève et juste avant d’entrer dans la ville, elle s’arrêta pour se nettoyer dans une rivière et enfiler ses vêtements les plus propres et les plus présentables. Ses maigres avoirs entre ses mains, elle entra dans la cité. Elle repéra rapidement les boutiques, les marchands ambulants, les cibles faciles et celles qu’il valait mieux éviter. Par contre, voler n’était pas son but, ce ne serait qu’en cas d’extrême urgence. Elle savait que les prisons de la ville devaient être plus coriaces que celles de la campagne. Par pure naïveté, elle se présenta aux portes du château afin de pouvoir y travailler mais elle ne franchit même pas les grilles gardées par des soldats du roi. On n’acceptait pas les moins que rien à la cour. Elle passa souvent les jours suivants devant les portes, se demandant comment entrer. Elle y arriverait un jour, se promettant de parcourir les jardins du château en courant. Mais pour l’instant, elle devait retourner à la ville et survivre tout en évitant de devenir l’une de ces filles de joie qui allaient avec les soldats et mourraient jeunes. Au moins, elle savait voler et avait appris très jeune à survivre. Peut-être pourrait-elle trouver un endroit où elle pourrait travailler contre quelque chose à manger et un endroit pour dormir, peut-être chez un fermier fournissant le palais en légumes… Peut-être un noble la verrait-il lors d’une visite au palais et tomberait-il amoureux d’elle, la sortant de sa misérable existence. Recherche: N’importe qui qui pourrait la sortir de la pauvreté
Description :
	Physique: Alice est assez grande, frôlant les 5’7 mais n’est pas très grosse, du au manque de nourriture fréquent. Elle a quand même des courbes laissant voir sa féminité sous les couches de vêtements qu’elle porte. Ses cheveux sont longs et souvent emmêlés. Elle les garde libre sur son dos, tressant deux mèches de chaque côté de la tête et les attache à l’arrière de sa tête. Ils sont châtain pâle mais paraissent souvent plus foncés du au manque de lavage quotidien. L’exposition au soleil a également fait pâlir plusieurs mèches. Elle possède de grands yeux bleus, entourés de longs cils noirs. Son regard est très doux et agréable. Son sourire est l’un de ses atouts mais il ne réussit tout de même pas à la tirer d’affaires à chaque fois qu’elle est dans le trouble. Elle n’a pas de graisse, seulement des muscles nerveux développés à force de courir et de travailler dur au soleil. Sa peau est basanée, démontrant plusieurs heures passées au soleil. Description mentale: Le moins que l’on puisse dire est qu’Alice possède un don pour survivre hors du commun. Elle connaît tous les trucs pour survivre, manger et ramasser un peu d’argent. Elle est astucieuse et sait comment se tirer d’embarras. Elle peut être patiente, décidant du meilleur moment pour commettre son méfait. Elle est très stratégique, sachant où mettre ses pions. Elle est très discrète et silencieuse, toutes des qualités pour un pickpocket ou des défauts pour ceux qui se font détrousser. Elle prend bien soin de ceux qu’elle aime, partageant ses avoirs avec sa famille mais demeurant discrète sur ses activités. Elle est très ambitieuse, désirant sortir de sa condition présente afin de l’améliorer. Elle est très fière, préférant voler que de mendier pour assurer sa survie. Sa fierté et son ambition l’empêchent aussi d’épouser un homme de sa condition qui l’empêcherait de réaliser ses buts et d’enfin atteindre la vie qu’elle désire mener.
Toi
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Validé ma jolie Smile